Les doux murmures

Élèves Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 08/03/2007

Quel belle journée! Une journée qui fait chaud et beau. Psyché qui est proche de la nature, en profita pour faire un tour dehors, c'était si beau. Il se promenait dans les allentours de l'académie. Il n'avait pas encore osé y rentrer. Il avait peur de faire des rencontres, oui oui, il en avait peur. Comment sont les autres? Sont-ils tous comme lui? Et qu'est-ce qu'il pourrait bien leur dire? Il n'a jamais parlé à personne!! À part aux murmures qu'il aime tant. Et puis, les mumures... Est-ce qu'il allait être là, avec lui, dans cette académie? L'elfe se posa trop de question, sa vie va changé tout d'un coup. Il secoua la tête pour effacer ses pensées et souria un peu à la belle journée qui s'annonce. Il marcha et marcha, il faisait de plus en plus chaud aussi. Par chance, il vit au loin la rivière. Il s'y approcha, se regardant dans l'eau, ce reflet changeant. Peu importe, il leva les yeux pour regarder s'il y avait quelqu'un proche, mais aucun signe. Psyché retira son chandail et entra dans la rivière pour s'y baigner. L'eau était si fraiche, ça faisait du bien. Il ferma les yeux doucement, restant assis sur le bord de la rivière pour ne pas partir dans le courant. Il était si bien. Tout à coup, il entendit quelque chose qui venait peu à peu vers lui. Il entendait une petite voix qui reconnu, c'était la petite voix du vent.

Une jeune fille s'aventurait dans le petit boisée menant vers la rivière. Elle était vétu d'une grande robe rose pâle, en desous de celle-ci elle portait un maillot deux pièce de couleur bleu pâle. Elle portait des sandales de la même couleur. Elle marchait lentement. La tête pensive.

*.*je me demande bien où il pourrait bien être....sans lui je me sens si seul*.* pensa-t-elle.

Elle poursuivait son chemin en regardant la magnifique nature. Le vent était si froid. Elle ferma les yeux et celui-ci se réchauffait légérement. Elle cotinua la route. Elle se laissait bercé par la chaleur du vent.

[chanson]
Je ne peux juste plus me retenir,
J'ai besoin de dire ce que j'ai envie de dire.
A la station de bus au crépuscule, sur le chemin du retour,
Je t'ai dit au revoir, à toi qui me tounais le dos, déprimé.

Le monde que j'ai vu dans mes rêves
Etait sans conflit, en paix chaque jour.
Mais en réalité, chaque jour me tend un piège,
Et parfois, je les trouve vraiment difficiles,
Ces jours qui passent.

On a le droit de tomber, n'est-ce pas?
Quand ça t'arrivera, je t'offrirai mon sourire.
Je suis montée dans le bus, et de l'intérieur,
J'ai pu voir que tu souriais un petit peu.

Je prendrai toujours de tes nouvelles.

Dans l'amour doux que j'ai vu dans mes rêves,
Les couples cherchaient un endroit où se cacher.
Mais en réalité, il y a des jours où on ne peut pas se voir.
Même lorsque je trébuche, je crois en ces jours solitaires.

Je veux sourire aussi souvent que possible,
Mais on doit tout faire pour protéger quelque chose, n'est-ce pas?

Sûrement que les mensonges
N'ont jamais aucun sens.
Tout mon amour,
Sans ça, je ne peux pas continuer.

Le monde que j'ai vu dans mes rêves
Etait sans conflit, en paix chaque jour.
Mais en réalité, chaque jour me tend un piège,
Et parfois, je les trouve vraiment difficiles,
Ces jours qui passent.

Elle chantait cela, toujours la même ritournelle. Elle chantonnait avec sa voix qui par magie s'harmonisait avec le vent. Le vent, cette source de bonheur qui lui permettait de communiquer avec les autres alors qu'elle n'avait jamais le courage.

Soudain, au loin, elle vit un jeune homme. Il était vêtu d'un maillot et il était à l'eau. Elle se faufila derrière les arbres et l'examinait tout en chantant encore une fois cette chanson en s'aidant du vent. Elle jouait dans ses cheveux en restant toujours derrière l’arbre. Elle regardait le garçon. Le sourire aux lèvres. Elle ne le connaissait pas et cela l’attristait.

« Le monde que j'ai vu dans mes rêves, était sans conflit, en paix chaque jour. Mais en réalité, chaque jour me tend un piège, et parfois, je les trouve vraiment difficiles, ces jours qui passent. » Murmura t’elle.

Elle baissa la tête, l’air triste et ajouta lentement.

« Je ne peux te dire au revoir puisque tu es parti avant moi mais sache que sans toi je me sens si perdue que mon âme recherche sans cesse cette porte qui ouvre ton coeur. »

Élèves Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 08/03/2007

Psyché écouta chaque parole de la chanson, c'était si... Triste! La voix du vent était trsite?!... Mais, mais pourquoi?! Au fur et à mesure, il se rendit compte que la voix, ne venait pas juste du vent, on dirait qu,elle était présente à côté de lui ou proche. Elle était vraiment réelle, cette voix vient de quelqu'un... Ou plutôt de quelqu'une. Non! Ça ne se pouvait pas! Elle était tout proche de lui. Et comment est-elle? Est-ce qu'elle est fait comme lui? Parce que Psyché n'a jamais rencontré personne au par-avant. Son coeur battait fort, il était tout énervé de voir quelqu'un pour la première fois. Qu'est-ce qu'il va faire quand il allait la voir? Roh! Tant de question avec aucune réponse. L'elfe prit son courage et se retourna en se levant. Il cherchait d'où venait la voix. Sauf la jeune fille était caché, il ne la voyait pas. Il dit d'une voix un peu faible.

Ô douce voix de mon vent... Où... Où es-tu... Montre-toi...

Psyché avait le coeur qui battait encore plus, que faire? QUE FAIRE? Il n'arrêtait plus de promener son regard sur le décor pour ne pas la manquer. Il porta sa main droite sur son coeur, croyant qu'il allait sortir de lui et il pinça un peu ses lèvres par la passion de la voir enfin.

Elewia était toujours dérière les arbres. Elle regarda la carrure du jeune garçon. Elle avait un léger pincement. Il avait les mêmes yeux, les mêmes lèvres. Elle tomba à genoux. Elle mit sa main sur son coeur et sentait celui-ci battre la chamade. Elle reposa son regard sur lui. Elle l'examinait de la tête au pied. Soudain, il ouvrit la bouche et se mit à parler.

[Ô douce voix de mon vent... Où... Où es-tu... Montre-toi...]

*.* C'est a moi qu'il veut parler... je rêve... moi Elewia*.*

Elle ne rêvait pas, il s'adressait à elle. Il voulait la voir, lui parler. Un sourire gargantuesque s'affichait sur son visage.

- ici...murmura-t-elle.

Elle n'osait pas aller le voir. Mais, elle le devait tellement. Son coeur voulait y aller. Elle fit deux pas et en recula trois.

*.* Courage Ely... Allez...*.*

Elle s'avança lentement. Elle ferma les yeux et marcha lentement, toujours en restant dans le boisée.

[Je ne peux juste plus me retenir, j'ai besoin de dire ce que j'ai envie de dire.]

Le vent murmura cette phrase. Le coeur de la jeune fille avait tellement envie. Elle s'avança lentement et vit le garçon entrain de se mordiller les lèvres et tenant sa main près de son cœur. Il était si mignon, si clame si apaisant. Elle continua dans le boisée lentement.

- Si seulement je pourrais te dire…., murmura t’elle.

Elle avait tellement eu mal de ne pas l’avoir dit tout ce qu’elle ressentait étant jeune. Elle avait eu encore plus mal quand elle a su qu’il reviendrait plus. Mais, de savoir que la destiner l’avait guidée jusqu'à un petit boisé où se trouvait Psyché. Son cœur battait tellement fort que le vent devrait ressentir les pulsions et les battements. Elle se trouvait très près. Elle pouvait entendre le jeune garçon respirer. Elle baissa la tête et fit demi-tour.

*.* je ne peux y aller que va-t-il penser de moi *.*

Soudain, le vent souffla très fort et elle se sentit transporter par lui. Elle reculait le pas et ne vit pas la roche derrière elle. Elle trébucha et tomba à l’eau. Elle resta dans l’eau fraîche et regarda devant elle. Elle voyait maintenant le dos du jeune garçon.

- Si seulement cela pourrait être toi…., murmura-t-elle.

Élèves Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 08/03/2007

Psyché la regarda venir vers elle, ce n'était pas possible. La voilà, devant lui, si petite et jolie avec ses longs cheveux foncés et son teint clair. Elle était si différente de lui. Elle n'a pas longues oreilles comme les siennes et elle a le corps si fin avec de jolies courbes. Ce n'est pas un corps qui donne l'air d'être fort et puissant, mais la beauté et la délicatesse donnent une faiblesse à Psyché. Pour la première fois, il fit quelqu'un et qui s'approchait de lui. Quoi?! Elle s'approche de lui... Oh mon dieu... Que faire?! Il n'a pas eu le temps de beaucoup réfléchir, qu'elle tomba à l'eau. L'elfe se retourna vers elle.

Laisse-moi t'aider...

Psyché lui tendit doucement la main pour l'aider à se relever. Il allait avoir un premier contact physique, si elle l'accepte son aide bien sûr. Il sentait son coeur battre encore plus, elle était si jolie. Il ne savait plus quoi vraiment faire. Alors, il attendit qu'elle se décide et lui fit un petit sourire entre ses cheveux qui tombaient dans son visage.

La jeune fille baissa le regard vers le sol. Elle regarda ses genoux. Elle ne pouvait pas le regarder de face. Elle était maintenant à l’eau et la seule chose qu’elle voulait s’était disparaître. Elle étendit sa main devant elle sans trop regarder ce que le jeune garçon ferait. Il la releva. Un petit rouge barbouilla ses joues. Le regard toujours au sol, ses cheveux long noir recouvrait son visage.

- Merci, laissa-t-elle sortir en s’avançant vers son bois d’origine. Elle fit trois pas et détourna son regard. Elle resta sur place.

[Je ne peux juste plus me retenir, j'ai besoin de dire ce que j'ai envie de dire.]

Le vent murmura une seconde fois cela. Elle prit une très longue respiration.

[Dans l'amour doux que j'ai vu dans mes rêves, Je t’ai toujours remarqué.]

Elle entendit un court moment pour dire. Les larmes aux yeux et le regard honteux. Elle se laissa tomber sur les genoux. Un pincement énorme lui serrait le cœur, comme si quelque chose ou quelqu’un lui arrachait. Elle resta au sol les jambes repliées vers le côté. Elle passa une main sur ses joues, voulant a tout pris retirer les larmes.

[Maintenant, que tu es devant moi…. Tu repartiras?]Souffla une seconde foi le vent.

Le vent souffla une seconde fois fortement. Mais, cette fois-ci, il était très froid, même glaciale. La jeune fille resta toujours sur la place ou elle était.

[c'est un miracle que j'aie pu te rencontrer, je suis comme dans un rêve ]

Élèves Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 08/03/2007

Psyché resta figé pendant un instant, écoutant le vent. C'était si beau ses paroles, il ne savait plus quoi dire ou faire. Il la regarda allé comme un ange triste. C'était la première personne qui rencontra et de plus, cette personne l'aime. C'était trop émition dans un seul moment, en plus que Psyché ne sait pas quoi faire avec ça, les sentiments. Il s'approcha d'elle doucement, il resta toujours derrière elle. L'elfe s'agenouilla proche d'elle et se pencha plus vers elle au niveau de l'oreille. Il ferma un peu les yeux, sentant la bonne odeur de la jeune femme. Il prit un certain temps avant de lui parler. Il rouvrit les yeux et lui chuchotta.

Pourquoi partirais-je si pour la première fois je peux te voir...

Psyché resta là, derrière elle, attendant une réponse. Il ne fit que la regarder, il n'osa aucun geste. Il avait peur de la brusquer ou qu'elle le repousse. Il ne fit que la contempler du regard en restant silencieux.

La jeune fille sentit le jeune homme s'approcher d'elle. Elle resta droite et ne bougea pas. Elle avait peur, non, elle ressentait plutôt une inquiétude. Qu'allait-il faire? Elle aurait aimé être capable de lire dans les intentions, mais elle n’en avait pas la force. Elle avait le vent, cette source de quiétude, qui lui permet de réaliser ces choses et de contempler les joies et les peines de la vie. Le vent lui transportait les sentiments des gens. Lorsque celui-ci était froid, elle était triste, lorsque celui-ci était chaud elle était joyeuse... mais présentement, le vent était fort et tiède. Elle se sentait comme dans un embarras. Elle voulait disparaître. Soudain, l'homme s'approcha près de son oreille. Son coeur se mit à battre si fort qu'elle avait l'impression que la terre entière l’entendrait.

[Pourquoi tu partirais? Parce que je ne suis ni humaine, ni femme.... je suis qu'une créature mis sur terre....]

Le vent murmurait encore cela. Le jeune garçon ne pouvait pas vraiment entendre la douce voix de la jeune fille. Elle en était incapable. Elle avait laissée sortir un simple merci...mais rien de plus.

Ses joues devinrent légèrement rosées. Elle regarda le visage du jeune garçon. Il était si délicat, si jolie et charmant. Elle en avait presque l'eau à la bouche. Elle baissa la tête.

[Cela ma sembler si longtemps... si seulement, a l'époque j'aurais pu...]

Elle avança trois pas...se dirigeant vers la forêt. Elle regarda l'arbre devant elle. Celui-ci était encore remplit de feuille. Elle glissa ses doigts sur les feuilles

- Pourquoi tu es partie? Tu n'étais pas bien?

Elle avait parlé. Elle semblait intéressée au près de l'arbre, comme si cela était la première fois qu'elle en voyait un.